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Une pandémie virale fige le tennis et le monde ! Quels enseignements potentiels en tirer ?

Une pandémie virale fige le tennis et le monde ! Quels enseignements potentiels en tirer ?

Publié par , mercredi 01/04/2020 01:09

Voilà près de trois semaines qu'une pandémie, autrement dit une épidémie mondiale, a contraint la saison de tennis professionnel à se mettre en pause. Ce sont d'ailleurs progressivement toutes les activités humaines considérées comme non essentielles qui ont été mises en suspens à l'échelle planétaire. La faute à un tout petit être, un virus. Un coronavirus (virus à coque "couronnée") pour être exact, baptisé SARS-CoV-2, responsable du développement chez l'humain de la maladie nommée Covid-19. Une pathologie pouvant déclencher des symptômes se rapprochant notamment de ceux d'une grippe et qui aboutit, dans certains cas, à une insuffisance respiratoire sévère pouvant entraîner le décès du malade. Très facilement transmis de par son état de virus aéroporté (il se transmet à l'air libre), il s'est répandu en quelques mois depuis son point de départ (Wuhan en Chine) à l'ensemble du globe. Les morts à travers le monde se comptent déjà par dizaines de milliers alors que la majorité des pays ont mis en place un confinement de leur population pour tenter d'endiguer l'épidémie. La suite reste, qui plus est, très incertaine dans la mesure où, d'une part, personne n'est en capacité de prédire le comportement futur de ce virus encore trop méconnu, d'autre part, aucune certitude n'est à l'heure actuelle acquise quant à la possibilité de développer des traitements et/ou des vaccins suffisamment efficaces. Nous sommes le 1er avril 2020 et tout ceci pourrait être le plus improbable et incroyable des poissons d'avril. Et comme la réalité s'est chargée d'imaginer la "blague" à notre place cette année, nous avons décidé de prendre le contre-pied et d'en profiter pour évoquer le plus sérieusement possible les enjeux importants liés à la situation que nous traversons et qui nous concernent toutes et tous, bien au-delà du tennis.

Une opportunité à saisir ?
Car cette période, aussi effrayante puisse-t-elle être, aussi terrible soit-elle pour celles et ceux directement touchés, peut aussi être une magnifique opportunité pour l'humanité. L'opportunité d'enfin prendre conscience de notre vulnérabilité, de la fragilité des conditions qui nous permettent d'aller tranquillement jusqu'à nous passionner pour une petite balle jaune, l'opportunité d'arrêter de nous éparpiller, de commencer à nous recentrer et à comprendre comment prendre soin de ce qui nous est essentiel. Ce scénario de film de science-fiction à suspens que nous sommes en train de vivre dans la réalité, qu'on aurait juré impossible il y a quelques mois à peine, nous rappelle que les catastrophes peuvent arriver. Qu’elles peuvent arriver mais que l'incapacité chronique de nos cerveaux humains à sérieusement les envisager nous empêche de les anticiper et donc paradoxalement de les éviter. Le manque de réactivité dont ont fait preuve la plupart des pays face à cette épidémie pourtant bien identifiée dès le mois de janvier est là pour nous le rappeler : nous avons le plus grand mal à prendre au sérieux une future catastrophe potentielle avant qu'elle soit réellement advenue. Peut-être par peur, peut-être parce que cela viendrait trop nous ébranler dans nos certitudes, dans notre vision du monde et de la vie. Voilà donc l'opportunité de recommencer à faire preuve d'un minimum d'humilité, l'humilité de se remettre à sa place de simple être vivant, si fragile qu'il peut disparaître à tout moment. Si dépendant de la bonne santé de tous les autres vivants qu'il ferait bien d'ériger le fait de prendre soin de tout le Vivant au rang de priorité absolue, de façon à éviter de voir les sensations actuelles se répéter et empirer à l'avenir. Ce qui suit se veut être un bref état des lieux, des implications, des leçons que nous pourrions tirer de la pandémie actuelle. Une invitation à prendre du recul et à regarder en face les problèmes plus profonds dont l'épidémie de Covid-19 peut être considérée comme un symptôme. Et enfin, une tentative de susciter en chacun de vous une prise de conscience des modifications que nous devrons nécessairement apporter au fonctionnement de nos systèmes humains pour espérer éviter, autant que possible, ce genre de catastrophes.

Quelles responsabilités humaines ?
Une première question vient naturellement : comment se fait-il qu'un virus apparu dans une ville de Chine centrale au mois de décembre 2019 se retrouve aux quatre coins de la planète trois mois plus tard ? Le virus ne se déplace pas par lui-même, ce sont ses hôtes et en l'occurrence les humains qui le déplacent. Si les humains ne se déplacent pas, le virus ne se déplace pas, donc pas de pandémie. Or nous vivons à l'époque de la mondialisation, l'humain se déplace partout, tout le temps et à toute vitesse. Et il entraîne avec lui tout un cortège invisible qui n'en demandait pas tant. Dans d'autres cas, pas celui du SARS-CoV-2, l'humain ne se déplace pas mais fait se déplacer des marchandises, souvent de façon aberrante et uniquement pour des raisons de rentabilité économique. Marchandises qui emportent avec elles ce qui n'aurait pas dû se déplacer naturellement. Un agent pathogène apparu dans un coin quasiment isolé du bout du monde peut ainsi faire le tour de la planète en quelques jours. Ce qui restait localisé dans un endroit précis il y a encore moins d'un siècle a maintenant toutes les chances de se répandre aux quatre coins de la Terre à toute vitesse. La situation sanitaire que nous vivons actuellement est donc dûe en grande partie à notre bougeotte compulsive. Mais pas que. (exemple de source parmi tant d'autres : https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/31845-Coronavirus-modes-vie-conduit-pandemie).
Notre responsabilité humaine ne s'arrête peut-être pas là. Car pour arriver jusqu'à l'Homme, le SARS-CoV-2 a en effet dû franchir la barrière des espèces. Et il a dû pour cela transiter par des espèces intermédiaires pour passer de son hôte originel (potentiellement une chauve-souris) à l'humain. Mais quel rapport avec notre mode de vie ? Eh bien il est désormais scientifiquement établi que la destruction ou la déstructuration des espaces de vie sauvage et des écosystèmes qui y sont liés augmente considérablement le risque de voir de telles maladies apparaître. En investissant des endroits de plus en plus reculés, en réduisant toujours plus les espaces sauvages préservés, l'Homme rencontre ou fait se rencontrer des espèces qui ne se seraient jamais croisées autrement. Ces maladies qui passent de l'animal à l'humain, appelées zoonoses, représentent 65% des maladies émergentes répertoriées entre 1980 et 2013. Un pourcentage en hausse constante sur ces 33 années étudiées. (exemple de source : https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-destruction-habitats-naturels-favorise-emergence-nouvelles-epidemies-comme-covid-19-80160/).
Nous pourrions aussi questionner ici notre démographie galopante, notre forte tendance à nous agglutiner en ville ou encore notre état de santé général tellement liés à des conditions de vie qui s'éloignent toujours plus des conditions optimales nécessaires à nos organismes.

Le symptôme d'un problème plus profond
Avec le Covid-19, il se pourrait donc que nous soyons tout simplement victimes de nos propres fonctionnements sociétaux. Comme c'est le cas pour une bonne partie des virus et épidémies les plus médiatisés dans un récent passé. Et si nous osions parler d'opportunité plus haut dans ce texte, c'est parce que cette pandémie devrait en toute logique, sauf déni post-traumatique collectif, nous amener à interroger sérieusement puis à repenser notre rapport au monde. Grand bien nous en prendrait, car tout laisse à croire que cette pandémie n'est qu'un symptôme d'un mal bien plus profond. Nous parlions des problèmes liés à la mondialisation et aux déplacements compulsifs qui y sont liés, il ne faut pas oublier que tout ce qui nous arrive se déroule sur fond de crise climatique. Crise climatique dans laquelle cette mondialisation galopante et l'explosion des échanges commerciaux qu'elle entraîne, a une énorme part de responsabilité. Via notamment une émission toujours plus importante de gaz à effet de serre. Nous sommes actuellement sur la trajectoire d'une hausse des températures globales d'au moins 5°C d'ici 2100. Cela signifie que, si nous ne changeons pas radicalement nos comportements, la majeure partie de l'humanité (jusqu'à 90%) souffrira de famines annuelles dans les années ou dizaines d'années à venir.
Autre grande responsable dans la crise climatique, notre agriculture industrielle actuelle qui détruit d'un côté les écosystèmes naturels stockant du carbone, pour les remplacer, de l'autre côté, par ses immenses espaces de culture ou d'élevage dont le fonctionnement émet quantité de gaz à effet de serre. Cette même agriculture industrielle qui est en grande partie responsable de l'altération des espaces naturels de vie sauvage avec les conséquences que nous abordions plus haut concernant les épidémies potentielles.
La crise sanitaire actuelle nous parle aussi d'économie, de la fragilité de notre système actuel et de notre trop grande dépendance à lui. Une économie mondialisée dans laquelle les humains ne sont plus capables de subvenir localement à leurs besoins. Une économie de marché poussée à l'extrême, elle-même guidée par un marché boursier de plus en plus décorrélé de la réalité avec des conséquences comme celle qu'on a pu observer lors de la crise des subprimes en 2008. Là aussi, un événement a priori isolé concernant uniquement le marché américain finit par se répandre et entraîner une crise mondiale. Une économie dont la logique unique de recherche de nouveaux profits, souvent à tout prix, nous fait passer à côté d'enjeux bien plus importants pour l'avenir de l'humanité. Une recherche de nouveaux profits, et donc de nouveaux marchés, qui poussent à toujours plus mondialiser, à toujours plus produire, à conquérir toujours plus de nouveaux territoires au détriment de la vie sauvage. Mais cette économie, nous nous en sommes rendus dépendant, ou plutôt nous nous sommes rendus croyants à sa dépendance. La boucle est bouclée, le cercle vicieux est en place. Pourquoi vicieux ? Car il faut toujours garder à l'esprit que les conditions de la vie humaine sur Terre sont très précises, la marge de manœuvre est très mince. Un peu plus ou un peu moins de ceci ou de cela et tout s'écroule. Pourtant nous sommes en train de faire consciemment tout ce qu'il faut pour nous écarter de ces conditions. Les mises en garde alarmistes de la communauté scientifique dans sa quasi-totalité n'y changent rien, il semble toujours y avoir une bonne raison de repousser les changements nécessaires. Nous semblons là aussi attendre la catastrophe pour enfin prendre conscience qu'elle peut arriver.
L'écosystème Terre est un immense système complexe. Une des particularités d'un système complexe est que sa complexité lui apporte une grande résilience. Il va longtemps résister aux chocs et aux altérations qu'il subit. Il continue à tendre vers ce qu'on peut considérer comme son état d'équilibre. Une autre particularité d'un système complexe est son point de rupture et la façon dont il est atteint. Il n'y a pas de progressivité, tant que le système est assez robuste, il tend infatigablement vers son équilibre initial auquel il retourne même en cas de choc très impactant. Il reste relativement stable. Mais lorsque le point de rupture est atteint, il se met tout d'un coup à tendre vers un nouvel équilibre, le basculement est aussi violent que soudain. C'est ainsi par exemple que des écosystèmes dont l'équilibre était la forêt, à force d'être détériorés par l'homme, ont fini par basculer vers des écosystèmes dont le nouvel équilibre est le désert. Inutile d'expliquer davantage ici pourquoi il serait prudent de ne pas trop s'approcher d’un tel point de basculement à l'échelle de la Terre. Et pourtant, chaque hectare sauvage détruit, chaque tonne de CO2 relâchée dans l'atmosphère, chaque espèce vivante anéantie, chaque écosystème pollué, nous en rapproche inexorablement sans que nous réagissions vraiment jusqu'à présent.

Quelles solutions ?
Mais alors que faire si les épidémies sont liées à la mondialisation et à la destruction effrénée des espaces sauvages, si la crise climatique y est aussi liée, si notre agriculture industrielle nous mène droit au désastre écologique, si notre fonctionnement économique nous pousse à continuer dans cette voie, et si nous sommes complètement dépendant de ce système économique ?
Commencer par accepter de regarder la réalité en face, cet épisode de Covid-19 devrait servir à nous y aider. Les catastrophes mondiales ne sont pas réservées au cinéma hollywoodien, en prendre conscience c’est accepter de les anticiper et donc se donner la possibilité d’agir pour essayer de les éviter. Arrêter de se cacher derrière un "on trouvera bien une solution" ou un "ce sont les politiques qui doivent agir". Prendre chacun conscience de notre propre responsabilité individuelle, ne pas en avoir peur car c'est en nous montrant responsables individuellement que nous pourrons ensuite réagir collectivement. Nous n'avons pas abordé ici la question politique mais la réponse est simple : nous sommes responsables de ceux qui nous gouvernent, nous leur octroyons le pouvoir et c'est à nous de veiller à ce qu’ils en fassent bon usage. Si ça n'est pas le cas mais que nous les laissons faire, c'est que nous avons oublié et abandonné notre rôle de peuple souverain. Le peuple est toujours souverain, tout dépend de sa volonté à faire respecter ce statut. En critiquant nos gouvernants, en les accusant de tous les maux, c'est en fait notre propre inaction qu'on critique. Encore faut-il en avoir conscience.
Les solutions existent, elles sont déjà en place par petites touches disséminées à travers le monde. Les possibilités de subvenir à nos besoins localement et durablement sont à portée de main, c'est une question de choix. Plus ces possibilités seront exigées plus elles deviendront la norme et plus elles seront abordables financièrement pour tous. Le choix de ne pas détruire ou polluer pour nous alimenter est aussi un choix, le bio est une première étape mais loin d'être suffisante, l'espace nécessaire est sensiblement le même qu'en agriculture industrielle et la destruction mécanique des sols y est toujours un problème. D'autres techniques de production agricole existent. Celles proposées par la permaculture en font partie et permettent d'atteindre une productivité au mètre carré incomparablement supérieure à celle de l'agriculture conventionnelle tout en restaurant les écosystèmes. Qui dit plus grande productivité au mètre carré dit besoin d'espace moins important et donc espace sauvages restaurés et sauvegardés. D’autres part les techniques permacoles permettent de redonner vie au sol et de lui rendre sa capacité à stocker du carbone. Des techniques de culture techniquement bien maîtrisées qui peuvent dès aujourd'hui, si elles sont appliquées à l'échelle mondiale, permettre de régénérer la vie des sols agricoles qui seraient alors capable de stocker chaque année plus de CO2 que n'en émet l'humanité. Le semis direct sous couvert en est un exemple évocateur. Un calcul confirmé par une étude commandée par le gouvernement français à l'occasion de la Cop21 de Paris en 2015. Mais, là encore, les intérêts économiques ne vont pas forcément dans le sens des changements qui s'imposent et donc pas dans le sens de la sauvegarde des conditions de vie nécessaires à l'humanité. Voilà quelques solutions disponibles immédiatement, il en existe bien d'autres, à tous les niveaux, je ne vous donne ici qu’un maigre aperçu. Il vous suffit de chercher et vous trouverez.
Car la première des choses à faire pour se responsabiliser est de s'informer. Ne pas se laisser bercer par des slogans bien pensés et les croyances qu'ils parviennent à créer. S'informer par soi-même, développer un point de vue critique parce qu'éclairé. Ne pas croire sur parole ce qu'on vous raconte. A commencer par cet article, allez vérifier par vous-même, renseignez-vous, faites-vous votre propre idée. Il n'y a pas les gentils humains d'un côté, les méchants humains de l'autre. Il y a des intérêts, souvent des conflits d'intérêt qu'il faut savoir repérer. Il semble évident que l'intérêt commun de l'humanité est de conserver aussi intactes que possible les conditions qui permettent sa survie. Tous les humains sont d'accord là-dessus. Et pourtant nous ne semblons pas nous y atteler collectivement. Certains humains se laissent aveugler par d'autres intérêts, souvent financiers, qui leur font perdre de vue leur intérêt premier, celui dont dépend la survie de leurs enfants, de leur famille, de leurs amis... de nos enfants, de nos familles, de nos amis. Nous avons tous la responsabilité de ne pas l'accepter et d’y remédier. Ne vous dites pas qu'il n'y a rien à faire ou que personne ne fera jamais rien. N'attendez pas que les autres fassent pour vous y mettre vous-même. Passez à l'action, trouvez quoi faire à votre échelle, faites votre part. L'humanité qui change, ça commence par vous, comment pourrait-elle changer si nous qui la composons ne changeons pas individuellement ? Commencez à changer, concrètement au quotidien, et vous prendrez bientôt conscience de la superbe et grandissante force collective qui va dans ce sens avec vous. Si vous ne la percevez pas encore, c'est simplement que vous n'avez vous-même pas encore acté vos changements. Alors allez-y, passez à l'action, vous n'êtes pas seuls et nous serons plus nombreux avec vous.
Ce n'est qu'à cette condition, prendre soin du Vivant et des conditions qui le rendent possible actuellement, que la vie humaine continuera elle-même à être possible. Possible et potentiellement agréable, sans être une lutte de chaque instant. Si nous réagissons sans attendre. Le tennis pourra alors peut-être rester une des cerises sur l'énorme et magnifique gâteau qu'est le miracle de la vie sur Terre.


Pour finir avec un tout petit peu de légèreté
Le tennis s'est arrêté et nous sommes tous confinés. Sans tournoi, sans match, il semble manquer un peu d'agitation sur TT. Nous avons cogité pour trouver comment y remédier et nous pensons avoir trouvé. Nous nous sommes lancés dans le développement d'un petit jeu qui devrait ramener plus d'animation naturelle à TT. Un joueur ou une joueuse virtuels à gérer, des matchs pour le/la faire progresser et tous les autres membres de TT à défier. Aucune idée du temps que ça nous prendra mais nous espérons le lancer au plus vite et nous vous tiendrons informés lorsque nous aurons suffisamment avancé. Ce n'est pas l'actualité du tennis qui nous prend du temps en ce moment, pas le bon fonctionnement des lives ou des pronos non plus, sans compter que nous sommes confinés comme tout le monde, donc nous devrions pouvoir avancer assez rapidement. Voilà pour la légèreté, mais ne vous y trompez pas, tout ce qui précède est bien plus important. Alors quitte à choisir comment utiliser votre temps en ce moment, faites-le en travaillant à vous responsabiliser. Nous sommes avant les catastrophes et il est encore temps d'en éviter une grande partie. Alors ne faites pas ce que beaucoup reprochent à nos gouvernements, vous finiriez par le regretter. Réagissez tant qu'il est encore temps. Personne ne le fera à votre place. Et, de temps en temps, entre une découverte et une prise de conscience, vous pourrez bientôt souffler et échapper quelques instants à la réalité, en venant jouer dans la virtualité de TT.

Bon 1er avril à toutes et tous, en espérant que la réalité nous laissera la primeur d'un vrai poisson l'année prochaine !


Quelques pistes pour aller plus loin dès maintenant
- Quand la Science appelle à l'aide pour l'humanité ? Aurélien Barrau, Astrophysicien (Thinkerview)
- Le point d'Aurélien Barrau sur la pandémie de Covid-19 et sa mise en perspective
- Effondrement de la civilisation ? Pablo Servigne (Thinkerview)
- Dearlobbies, le site parfait pour travailler votre imaginaire. Mieux visualiser les différents futurs envisageables, mieux prendre conscience, mieux anticiper et donc mieux construire le meilleur avenir possible
- La série documentaire Next qui traite justement de ces possibles (probables ?) catastrophes à venir et sur la façon d'y faire face
- La série fiction L'Effondrement diffusée sur Canal+

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L’épaule + les jambes + le mental + l’historique vs Collins + les cris de Collins + la température à 28 degrés + le vent nord ouest à 2.6 km/h + une ampoule sous l’orteil gauche + le plat mexicain d’h
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Nikoneko Nikoneko
Je crains qu'il va devoir tourner la page. Après, il peut déjà être fier de lui, il est parmi ceux ayant gagner un grand chelem au moins dans leur carrière.
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Roger-Federer-16 Roger-Federer-16
Mdr le mental, c’est l’excuse bidon. Si elle avait aucun mental elle ne serait pas là aujourd’hui, elle n’aurait pas battu Osaka et Gauff, elle n’aurait pas été tête de série, elle n’aurait même pas f
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Nikoneko Nikoneko
Ca pour une nouvelle !! Oo Oo qui l'avait vu venir celle-là ?! si c'est une séparation en bons termes comme dit Djoko, je ne vois pas ce que ca changera pour le serbe. perso je trouve que l'apport d
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XMAN4 XMAN4
Ca reste un "bon" tournoi pour Garcia, 1/4 de finales sur un M1000, en ayant sorti Osaka et Gauff n3 mondiale.
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Stan LR Stan LR