Djokovic sur son nouvel entraîneur : « J’ai pris Murray au dépourvu, il ne s’y attendait pas »
Andy Murray va être le nouvel entraîneur de Novak Djokovic au moins jusqu’à l’Open d’Australie. Officiellement retraité des courts depuis cet été, l’Écossais va collaborer avec son ami et ancien rival sur le circuit ATP.
Le Serbe, de son côté, a raconté les coulisses de la première prise de contact et a admis que Murray était très surpris.
« J’étais dans un processus de réflexion par rapport à la saison prochaine et je pensais à ce dont j’avais besoin à ce moment précis de ma carrière.
J’ai terminé ma collaboration en mars avec Goran Ivanisevic, avec qui j’ai connu plein de succès et avec qui j’ai travaillé pendant des années », a démarré l’ancien numéro 1 mondial pour GB News.
« J’ai mis six mois afin de décider si j’avais besoin d’un entraîneur, et, si c’était le cas, quel profil de coach je voulais.
Avec mon équipe, nous avons étudié plusieurs noms et j’ai réalisé que l’entraîneur parfait pourrait être quelqu’un qui a eu les mêmes expériences que moi, c’est-à-dire un multiple vainqueur en Grand Chelem et un ancien numéro 1 mondial.
J’ai pensé à plusieurs personnes et Andy Murray est une idée qui est apparue sur la table. Je me suis dit : ’Ok, je vais l’appeler et on verra comment ça évolue. Je l’ai un peu pris au dépourvu parce qu’il ne s’y attendait pas.
J’ai toujours la motivation de gagner des Grands Chelems et d’écrire l’histoire de notre sport.
C’est l’une des principales raisons qui m’ont poussé à demander à Andy de travailler avec moi. J’ai toujours de grands objectifs », a conclu Djokovic.
Sinon, on est d'accord : Djoko est bien évidemment capable de gagner au moins 1 GC en 2025. A priori, sans pépin physique il peut, j'ai bien dit peut taper tout le monde (Alcaraz inclus). C'est Sinner, réplique de lui-même, pas forcément meilleure, mais plus fort physiquement à cause de la différence d'âge, contre qui ça va être le plus difficile. Sauf peut-être sur gazon.
Et concernant Sinner, on peut faire une saison stratosphérique, sembler être au dessus de toute concurrence pour des années (comme Djoko en 2011), et être simplement bon l'année suivante (1 GC, comme Djoko en 2012).