« Il reste un match pour ramener le trophée à la maison », les confessions de Royer après sa qualification en finale de Hangzhou
Valentin Royer a fait sensation en se qualifiant pour la finale de l’ATP 250 de Hangzhou. 88e au classement, le jeune Français défiera Bublik pour un premier titre sur le circuit principal. Mais avant ça, il a accordé une interview à nos confrères de L’Équipe.
« Je suis excité pour la finale. On va s'y préparer comme pour tous les autres matches, avec la routine de tous les jours, les éveils musculaires, les étirements, etc. Là, je viens de finir mon match et on va aller retaper vingt-trente minutes pour quelques réglages. Ce sont toutes ces petites choses-là qui, mises bout à bout, finissent par faire une différence sur le terrain.
Cette qualification est l'accomplissement du travail réalisé. Le premier objectif dont tout joueur rêve d'accomplir, c'est d'être top 100 mondial. Ça, c'est coché. Une autre case, c'est de gagner un tournoi sur le circuit principal où il y a encore moins de personnes qui ont réussi à le faire. Ce n'est pas fini, il reste un match pour ramener le trophée à la maison.
Certains journalistes m'ont dit que j'avais le coup droit d'untel et le physique d'untel, et je leur ai dit : ''Je n'ai le coup droit de personne et le physique de personne. Je fais juste à ma manière, je fais du Valentin Royer sur le terrain." »
Royer, Valentin
Bublik, Alexander
Hangzhou