Juan Ignacio Chela met un terme à sa carrière
Juan Ignacio Chela n'arpentera plus les courts du Circuit ATP en 2013. Emboîtant le pas à Andy Roddick, Juan Carlos Ferrero ou encore à sa compatriote Gisela Dulko, l'Argentin a en effet annoncé, ce lundi via les réseaux sociaux, qu'il prenait sa retraite sportive. A 33 ans, il n'avait plus disputé de match officiel depuis le premier tour de Wimbledon à la fin du mois de juin dernier.
Une retraite presque annoncée
La motivation n'y était plus pour Chela après 14 années de carrière. Avec 7 défaites d'affilée au premier tour depuis début mars et une deuxième partie de saison blanche, la décision semblait déjà lui trotter dans la tête depuis quelques temps. Pointant au 176ème rang du Classement ATP alors qu'il a été 15ème mondial au meilleur de sa carrière en 2004 et qu'il était encore 29ème en début d'année, l'Argentin était déjà tourné vers la suite.
Trois quarts en Grand Chelem et six titres ATP
Chela raccroche avec 6 titres à son palmarès personnel, tous arrachés sur terre battue, à Mexico en 2000, Amersfoort en 2002, Estoril en 2004, Acapulco en 2007 puis Bucarest et Houston en 2010. Il a également atteint les quarts de finale de Roland Garros à deux reprises (2004, 2011) et ceux de l'US Open (2007). Enfin, il a atteint la finale de Coupe Davis 2006 avec l'Argentine, s'inclinant face à la Russie à Moscou.
J. Chela: "Après de nombreuses années, il était temps de passer à une autre étape de ma vie, je prend ma retraite du tennis professionnel."
Une honte. Vous pensez que c'est facile de raccrocher, quand depuis que vous êtes môme le sport de haut niveau est votre quotidien ?
Pathétique.
Les gens qui supportent les grands, et crachent sur tous les autres joueurs, moins talentueux et moins connus mais qui ont consacré leur vie au tennis, et souvent au beau tennis, m'ont toujours foutu la gerbe.
Un excellent joueur, beau à voir jouer, et dont on oubliera jamais le point phénoménal contre Roddick, où il a aura malheureusement pour lui, été la victime ^^
En tout cas, un très beau jeu qui part.
Bravo Juan Ignacio.