Vagnozzi, entraîneur de Sinner : « Le dur, c’est sa surface naturelle »
Sacré pour la deuxième année de suite à Melbourne, Jannik Sinner continue d’asseoir sa domination sur le circuit masculin et plus particulièrement lors des tournois sur dur.
Bien que demi-finaliste à Roland-Garros et quart de finaliste à Wimbledon l’an passé, le n°1 mondial a encore quelques détails à régler pour être prêt à décrocher les deux Grands Chelems qui manquent à son palmarès, comme le décrit son coach Simone Vagnozzi :
« Je pense que le dur, c’est sa surface naturelle. La terre battue est un peu plus difficile pour lui, mais je pense qu’il peut très bien jouer à Roland-Garros, il a atteint les demi-finales l’année dernière.
À Wimbledon, il a joué de malchance, car il ne se sentait pas à 100% quand il a perdu contre Medvedev. On doit probablement faire quelques petits changements pour gagner Wimbledon.
Je pense que nous avons une chance d’être prêts pour essayer de gagner les deux tournois. Nous verrons bien. »