[u][b]Anecdote :[/b][/u] [b][color=blue]Il est devenu ce qu'il devait être. Merci Vajda[/color][/b] Quelques jours après sa défaite en quarts de finale à Roland-Garros 2010, Novak Djokovic annonça à son coach, Marián Vajda à l'epoque, qu'il avait décidé d'arrêter le tennis.
Il était alors numéro 3 mondial, vainqueur d'un Grand Chelem et favori pour Wimbledon.
Après cette annonce, son coach Vajda lui demanda : « Pourquoi as-tu commencé ce sport ? »
Vajda comprit immédiatement le problème : Djokovic se focalisait trop sur les classements, les records, les titres et les attentes externes. Djokovic admit : « Mentalement, j'étais dans un état vraiment perturbé. »
En réfléchissant à la question de son coach Vajda, Djokovic repensa à ses premiers souvenirs d'enfance avec son « jouet préféré » - une mini raquette de tennis et une balle en mousse.
Il répondit : « J’ai commencé le tennis simplement parce que j'adorais tenir cette raquette dans ma main. »
« Aimes-tu toujours tenir une raquette dans ta main ? » demanda Vajda.
Après quelques secondes de réflexion, Djokovic s'enthousiasma : « Oui. J'aime toujours tenir une raquette. Que ce soit en finale de Grand Chelem ou sur un court public, j'aime jouer pour le plaisir de jouer. »
Vajda acquiesça : « C’est là ta source. C'est ce dont tu dois te nourrir. Oublie le classement, tes objectifs et ce que tu penses que les autres attendent de toi. »
Vajda suggéra alors à Djokovic de prendre quelques semaines de repos.
Djokovic accepta.
Mais le lendemain matin, Djokovic brûlait d'envie de frapper des balles. Il alla jouer simplement pour le plaisir. « Et depuis ce moment, je n'ai jamais regardé en arrière. »
La saison suivante, Djokovic réalisa l'une des plus grandes saisons de l'histoire du sport. Il enchaîna 43 victoires consécutives, remporta trois Grands Chelems, dont son premier Wimbledon, et termina l'année numéro un mondial.
« J’ai commencé à jouer librement, » dit-il de cette saison. « Je suis redevenu l'enfant que j'étais quand j'ai commencé. »
Leçon #1 : Dans son livre « Consolations II », David Whyte écrit sur l'épuisement professionnel.
Derrière la réalisation qu'on est épuisé se cache toujours la prise de conscience qu'on « mesurait les mauvaises choses de la mauvaise façon », qu'on se focalisait trop sur « les récompenses superficielles de faux objectifs ou de fausses personnes. »
Comme Vajda qui guida Djokovic vers sa source, Whyte écrit que le chemin hors de l'épuisement « passe par les choses mêmes que j'ai mises de côté en route vers l'épuisement. Le chemin même qui m'a mené à cet état vidé et épuisé est celui qui me sortira de ma prison, me ramenant vers ce qui m'est précieux... ce que j'ai aimé et ai toujours aimé depuis l'enfance ou depuis le début. »
Goldenoleil y a 1 heure
Moi, je l'aime bien Nick - c'est un joueur vraiment talentueux pour ceux qui l'on vu jouer..... et d'autres grands joueurs l'ont aussi reconnu. Mais, c'est une fumiste, un intermittent du tennis, quelqu'un de particulier, qui est hors système et qui fait le show et crée la polémique, c'est ainsi....
Sophie Wiltzil y a 2 heures
Mdr Tsitsipas
Ikeil y a 2 heures
Qui plus est dans la culture asiatique il est courant de ne pas montrer ses émotions, c'est un style d'éducation très visible en Chine ou au Japon par exemple. Même si son attitude ne plaît pas forcément à tout le monde elle à le mérite de jouer franc-jeu.
YoannGoil y a 3 heures
Allez Tiafoe
cloviskambou75il y a 3 heures
Tant mieux si Safin lui a apporté une aide physiologique mais la bipolarité est une vraie maladie et le métier de tennis Man pas facile qui gène beaucoup se tensions. Je te souhaite le meilleur tu es un super jour bonne année à toi et beaucoup de réussite