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Humbert : « Je ne frappais que des coups gagnants, tout était dedans (contre Alcaraz) » - Conférence de presse après le match à Paris.
ven. 1 novembre 2024
Ugo Humbert : « C'est la plus grande victoire de ma carrière et le meilleur moment que j'ai jamais vécu sur un court de tennis. C'était incroyable, je m'entraîne pour ça et c'est ce que je me répétais tout au long du troisième set. Je voulais que l'histoire se termine mieux que l'année dernière.
J'ai pensé aussi au match contre Zverev, cela m'a donné de la force et je suis vraiment fier de moi. Jérémy (Chardy, son entraîneur) m'avait dit, surtout, ne fais pas ce que tu as fait en Coupe Davis, en essayant de trop en faire (Humbert avait perdu contre Alcaraz en septembre).
Mais tout était dans le court. Je frappais gagnant après gagnant, et j'étais ultra-agressif dès le retour. Au début du deuxième, j'ai commencé à rater un peu, et lui a commencé à mieux jouer. Je pense que j'avais dépensé tellement d'énergie que j'ai eu un petit contre-coup et je me suis battu jusqu'au milieu du troisième pour m'en sortir.
Après ça, je me suis parlé pendant tout le troisième set, je me parlais. J'avais besoin de me parler pour me dire que j'étais avec moi, que j'étais là, que je n'abandonnerais pas jusqu'à la fin. Ça a marché, ça faisait du bien et je sentais que c'était la bonne solution.
En tout cas, avec mon jeu sur ces surfaces, comme sur gazon, je peux vraiment embêter les meilleurs du monde. Après ça, en Coupe Davis, il a fait un match incroyable. Je n'avais pas eu trop d'occasions, il m'a mis sous pression partout et je n'ai pas vu le jour.
C'était un match différent, avec le soutien incroyable du public. Je suis aussi content de leur (les fans) donner la victoire parce que c'était un moment tellement important pour moi. Partager ça avec eux était juste fabuleux.
J'adore jouer contre les meilleurs joueurs du monde. C'est pour ça que je m'entraîne. J'adore ces conditions à Bercy, mon tournoi préféré. Ce sont les matchs que j'aime jouer. »
J'ai pensé aussi au match contre Zverev, cela m'a donné de la force et je suis vraiment fier de moi. Jérémy (Chardy, son entraîneur) m'avait dit, surtout, ne fais pas ce que tu as fait en Coupe Davis, en essayant de trop en faire (Humbert avait perdu contre Alcaraz en septembre).
Mais tout était dans le court. Je frappais gagnant après gagnant, et j'étais ultra-agressif dès le retour. Au début du deuxième, j'ai commencé à rater un peu, et lui a commencé à mieux jouer. Je pense que j'avais dépensé tellement d'énergie que j'ai eu un petit contre-coup et je me suis battu jusqu'au milieu du troisième pour m'en sortir.
Après ça, je me suis parlé pendant tout le troisième set, je me parlais. J'avais besoin de me parler pour me dire que j'étais avec moi, que j'étais là, que je n'abandonnerais pas jusqu'à la fin. Ça a marché, ça faisait du bien et je sentais que c'était la bonne solution.
En tout cas, avec mon jeu sur ces surfaces, comme sur gazon, je peux vraiment embêter les meilleurs du monde. Après ça, en Coupe Davis, il a fait un match incroyable. Je n'avais pas eu trop d'occasions, il m'a mis sous pression partout et je n'ai pas vu le jour.
C'était un match différent, avec le soutien incroyable du public. Je suis aussi content de leur (les fans) donner la victoire parce que c'était un moment tellement important pour moi. Partager ça avec eux était juste fabuleux.
J'adore jouer contre les meilleurs joueurs du monde. C'est pour ça que je m'entraîne. J'adore ces conditions à Bercy, mon tournoi préféré. Ce sont les matchs que j'aime jouer. »