Coupe Davis : l'exploit des Bleus, qualifiés pour les demi-finales (TF1)
Coupe Davis : la contre-attaque des mousquetaires fait mouche (JDD)
Clément: "Une vraie réaction d'Hommes" "Hyper fier de mes joueurs"
Julien Benneteau: "Chacun a apporté son point"
Visiblement, l’équipe de France de coupe Davis avait un défi énormissime à relever, ce qu’elle semble avoir fait avec un brio confinant à l’héroïsme.
Qu’en est-il réellement et quelle est donc cette équipe de golgoths germaniques dressant un mur de muscles face à notre gang d’exilés fiscaux tricolores (ou plutôt bicolores puisque trois « mousquetaires » sur les quatre ayant disputé cette compétition au sommet paient en fait leurs impôts en Suisse)…
La force de frappe teutonne était privée de ses principales divisions de Panzer. Pas de Haas, pas de Kohlschreiber, pas de Becker, pas de Mayer. La tête d’équipe ? Kamke (96ème). Les soldats ? Gojowcyk (111ème) et Begemann (NC ATP).
Résultat : notre « Jo » (12ème) se fait proprement étendre par le 111ème mondial. Quant à Benneteau (50ème), il trépasse face au 96ème.
S’ensuit un double tendu face à Kamke associé à un obscur Begemann, non classé ATP. Puis un Tsonga qui se souvient brutalement qu’il était dans le top10 il n’y a pas si longtemps et qui se remet à jouer au tennis. Et enfin un Monfils qui « sauve » le Titanic France… en faisant quoi au fait ? Hé bien, en faisant juste respecter la logique des classements. 25ème face au 111ème… rien que du très normal, non ?
Mon objectif ici n’est pas d’analyser les causes de la contre-performance face à une équipe allemande de troisième catégorie (trop de pression ou au contraire manque de motivation pour des matchs qui rapportent beaucoup moins que les tournois ATP, patriotisme en berne… ?) mais plutôt d’exprimer mon irritation quand je lis ce que les pisse-copies ont pu déblatérer une fois la victoire acquise. Ou comment transformer une Bérézina en Austerlitz en quelques paragraphes mal écrits à grands renforts de superlatifs hors de propos… Vive la France !
Pour ma part je dis plutôt bravo à cette équipe d'Allemagne amputée de ses meilleurs éléments qui a tenu la dragée haute à des Français bouffés d'orgueil et de surestimation de soi.
Coupe Davis : la contre-attaque des mousquetaires fait mouche (JDD)
Clément: "Une vraie réaction d'Hommes" "Hyper fier de mes joueurs"
Julien Benneteau: "Chacun a apporté son point"
Visiblement, l’équipe de France de coupe Davis avait un défi énormissime à relever, ce qu’elle semble avoir fait avec un brio confinant à l’héroïsme.
Qu’en est-il réellement et quelle est donc cette équipe de golgoths germaniques dressant un mur de muscles face à notre gang d’exilés fiscaux tricolores (ou plutôt bicolores puisque trois « mousquetaires » sur les quatre ayant disputé cette compétition au sommet paient en fait leurs impôts en Suisse)…
La force de frappe teutonne était privée de ses principales divisions de Panzer. Pas de Haas, pas de Kohlschreiber, pas de Becker, pas de Mayer. La tête d’équipe ? Kamke (96ème). Les soldats ? Gojowcyk (111ème) et Begemann (NC ATP).
Résultat : notre « Jo » (12ème) se fait proprement étendre par le 111ème mondial. Quant à Benneteau (50ème), il trépasse face au 96ème.
S’ensuit un double tendu face à Kamke associé à un obscur Begemann, non classé ATP. Puis un Tsonga qui se souvient brutalement qu’il était dans le top10 il n’y a pas si longtemps et qui se remet à jouer au tennis. Et enfin un Monfils qui « sauve » le Titanic France… en faisant quoi au fait ? Hé bien, en faisant juste respecter la logique des classements. 25ème face au 111ème… rien que du très normal, non ?
Mon objectif ici n’est pas d’analyser les causes de la contre-performance face à une équipe allemande de troisième catégorie (trop de pression ou au contraire manque de motivation pour des matchs qui rapportent beaucoup moins que les tournois ATP, patriotisme en berne… ?) mais plutôt d’exprimer mon irritation quand je lis ce que les pisse-copies ont pu déblatérer une fois la victoire acquise. Ou comment transformer une Bérézina en Austerlitz en quelques paragraphes mal écrits à grands renforts de superlatifs hors de propos… Vive la France !
Pour ma part je dis plutôt bravo à cette équipe d'Allemagne amputée de ses meilleurs éléments qui a tenu la dragée haute à des Français bouffés d'orgueil et de surestimation de soi.