Welkom bij Rotterdam, mes cousines, ça va envoyer de la sauce hollandaise... Oui, l'expression est vaguement écoeurante. Mais peu importe. ATP 500 réputé pour sa qualité (les 4 derniers vainqueurs sont issus du top 5), qui verra encore cette année quatre top 10 se disputer le haut de l'affiche (Federer, Del Potro, Tsonga, Gasquet) et une kyrielle d'autres participants talentueux, disposant parfois d'une forme insolente. Donc, y'a de la populace. Tour d'horizon.
Favori incontesté, tenant du titre, n°2 mondial, et... Rien, Federer quoi. On va pas continuer à le présenter après 15 ans de bons et loyaux services, mais on peut avancer une simple demie-finale à l'Open d'Australie, rien de magistral donc, ayant de plus sauvé sa peau d'extrême justesse face à Tsonga en 1/4, le FedEx commence son année en mode diesel.
Derrière lui, trois hommes :
Del Potro d'abord. Battu par Chardy au 3e tour de Melbourne, par Hewitt en finale de Kooyong, la fameuse Tour de Tandil ne commence pas en mode diesel, mais en mode grosse galère. Finaliste ici même l'année dernière, il doit se reprendre.
Tsonga ensuite. Vaincu au terme d'une lutte acharnée par el Maestro en personne en Australie, il veut une revanche et un bain chaud. Non, sans blague, il y tient. Enfin, peut-être pas au bain chaud. Quoique... Pis il gueulerais pas non plus contre un titre.
Gasquet enfin. Gasquet toujours, Gasquet qui présente un bilan assez favorable de 14 victoires pour 1 défaite en 2013, ainsi que 2 titres. Mais aucun top 10. Voire aucun top 30, ce qui est pire. Donc il va falloir s'affirmer, il y a assez de monde ici pour ça.
En plus de ces gentlemens, on retrouve après Montpellier la colonie française, donc les deux sus-nommés plus Simon, Llodra, Benneteau, Paire, Mathieu et Monfils. Voilà qui fait du monde. Oh ça va allumer du lourd. Et non, aucun rapport avec le fait que ça se passe en Hollande. J'ai quand même pas l'esprit mal tourné comme ça. Plus, c'est pas impossible. Mais on retrouve aussi la jeune garde internationale : Janowicz, Goffin, Dimitrov et Tomic.
En bref, ça va être sympa. Dès le premier tour même, avec des affiches alléchantes entre Del Potro et Monfils, Dimitrov et Tomic ou encore Benneteau et Llodra. J'ai comme l'impression que je vais le kiffer, ce tournoi...
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Del Potro d'abord. Battu par Chardy au 3e tour de Melbourne, par Hewitt en finale de Kooyong, la fameuse Tour de Tandil ne commence pas en mode diesel, mais en mode grosse galère. Finaliste ici même l'année dernière, il doit se reprendre.
Tsonga ensuite. Vaincu au terme d'une lutte acharnée par el Maestro en personne en Australie, il veut une revanche et un bain chaud. Non, sans blague, il y tient. Enfin, peut-être pas au bain chaud. Quoique... Pis il gueulerais pas non plus contre un titre.
Gasquet enfin. Gasquet toujours, Gasquet qui présente un bilan assez favorable de 14 victoires pour 1 défaite en 2013, ainsi que 2 titres. Mais aucun top 10. Voire aucun top 30, ce qui est pire. Donc il va falloir s'affirmer, il y a assez de monde ici pour ça.
En plus de ces gentlemens, on retrouve après Montpellier la colonie française, donc les deux sus-nommés plus Simon, Llodra, Benneteau, Paire, Mathieu et Monfils. Voilà qui fait du monde. Oh ça va allumer du lourd. Et non, aucun rapport avec le fait que ça se passe en Hollande. J'ai quand même pas l'esprit mal tourné comme ça. Plus, c'est pas impossible. Mais on retrouve aussi la jeune garde internationale : Janowicz, Goffin, Dimitrov et Tomic.
En bref, ça va être sympa. Dès le premier tour même, avec des affiches alléchantes entre Del Potro et Monfils, Dimitrov et Tomic ou encore Benneteau et Llodra. J'ai comme l'impression que je vais le kiffer, ce tournoi...