Du fait de l'absence de James Ward, qui préfère jouer la carte de l'humilité pour ne pas arriver avec la pancarte du favori à Wimbledon, le tournoi est ouvert et difficile à pronostiquer.
Alors que certains observateurs émérites peinent à voir clair dans l'opacité de ce premier rendez-vous sur gazon de la saison, le grand Scottie P vient porter haut le flambeau de la connaissance et éclairer les spécialistes dans leur quête de la vérité.
En effet deux vaillants guerriers sont déjà venu fouler la surface sacrée, et se posent comme les deux grands favoris pour la victoire finale. J'ai nommé les arbitres du bons goût Gaël Monfils et Dustin Brown. Ils ne se sont affrontés qu'une seule fois, pour une majestueuse flopée d'étincelles. Et les revoici qui, entrant au galop dans la ville de Stuttgart, semblent décider à se disputer la couronne.
Le Français, bien que n'ayant jamais caché son dégoût pour la verdure, possède un excellent service qui lui permettra d'aller loin et un coup droit dévastateur qui fait mal sur toutes les surfaces. Le fait qu'il donne dans son jeu de plus en plus de place à la volée est également un bon présage pour ce début de saison sur herbe.
L'Allemand, possédant naturellement plus de goût pour les végétaux, va surprendre tout le monde avec ses frappes à plat, son légendaire toucher et ses volées plongeantes à faire frémir Boris Becker.
Et, comble de bonheur, les deux joueurs s'évitent jusqu'en finale. Miracle du tableau.
Hélas, l'histoire était trop belle pour être vraie. Un homme auquel on refuse le titre d'esthète du circuit au profit de ces deux génies, est prêt à frapper un grand coup. Et sa perfidie est à toute épreuve.
Et oui, mesdames et messieurs, le conspirateur Kyrgios est sur place avec la volonté de donner une leçon à Monfils et à Brown. Son but : écarter l'un et l'autre de la finale et se retrouver sacré. Que ses partisans se rassurent, il sera bien au rendez-vous, plus motivé que jamais il ne l'a été. Placé dans la partie de tableau de Gaël, il attend déjà avec impatience le Français en quarts.
Ne pouvant rien pour arrêter Dustin par ses propres moyens, il soudoiera l'obscur chasseur de têtes Ernests Gulbis pour parvenir à ses fins. Les pourparlers seront sévères mais le Letton se laissera convaincre moyennant un salaire assez conséquent et la possibilité de profiter du fameux joker :"le téléphone à Lahyani" pendant ses matchs. Mais l'âme de Gulbis est sombre, et est-il capable de mettre son ego de côté au moment de laisser le succès à son compère Nick ? Rien n'est moins sur....
C'est donc une guerre froide des plus spectaculaires à laquelle on assistera à Stuttgart. Qui l'emportera : le camp du bien et ses remarquables serviteurs que sont Monfils et Brown ? Ou bien le côté obscur du vil Kyrgios et du mercenaire Gulbis ?
Une épopée sous forme de duel éxplosif entre la lumière et l'obscurité. Et pour dénouement, 4 scénarios possibles.
1) La fin "happy-end" avec la victoire indiscutable du camp du bien : Gaël et Dustin déjouent les plans de leurs adversaires, ils abandonnent simultanément à 7/6 6/7 6/6 en finale et soulèvent tous deux la coupe, un magnifique sourire aux lèvres, pendant que Nick ronge son frein en tribunes.
2) La fin "dark side" : Kyrgios balade Monfils aux quatre coins du cours pendant la totalité du match et termine sur un ace à la cuillère. Dans le même temps Gulbis dispose de Brown en se montrant plus solide. La finale entre l'Australien et le Letton ne se joue même pas, ce dernier ayant déclaré forfait pour honorer ses engagements.
3) Un combat épique en guise de finale : Kyrgios passe Monfils mais Brown, insubmersible, se débarrasse de Gulbis en 3 manches. La finale se joue dans une ambiance de dingue et le vainqueur, quel qu'il soit, prend le titre d'artiste du circuit. Il va s'en dire que la victoire de Kyrgios serait une grande satisfaction pour le côté obscur de la balle jaune.
4) La trahison de Gulbis : Au moment de son entrée sur le court pour la finale, Kyrgios se fait bousculer par le bel Ernests : "Tu croyais vraiment pouvoir m'utiliser comme un pion ? Le moment est venu pour toi de vaincre ou de mourir Nick !" (à lire avec une voix profonde et un accent rocailleux). Gulbis survole la finale en 2 manches et Nick jure mais un peu tard qu'on ne l'y prendra plus.
Le conseil que je donne aux organisateurs : Annuler le tournoi et organiser un double au meilleur des neuf manches entre les deux paires. Cela aurait le mérite d'éviter les matchs inutiles et gagnés d'avance (Brown-Zverev, Kyrgios-Khachanov,....)
De plus, le format "5 sets gagnants" n'ayant jamais été testé, le tournoi pourrait profiter d'un immense engouement.
En tout cas c'est plus ce que c'était les ATP 250... Jouer un tournoi avec toute cette tension sous-jacente...Je plains les joueurs ! Bonne chance à eux, qu'ils profitent.
Comme le dit le proverbe : "quand James Ward n'est pas là, ses vassaux dansent"
Je sais pas si tu étais vraiment sérieux dans ton analyse ScottieP mais ce qui est sûr c'est que si James est au émes Touts de Wimbledon ça sera déjà une victoire en soit pour lui MDR
Pour eux qui est de Gulbis et Kyrgios bon je t'avoue que c'est facile de sire ça alors qu'ils sont déjà éliminé mais jamais une seule seconde je les auraient vu rien qu'en demi et pour Monfils comme tu l'a bien dis il à toujours clamé détéster l'herbe et ce n'est pas après sa débacle de RG que ça va changer et au vu de son premier Tour il n'ira pas loin.
Pour ton 4ème larrons avec lui c'est un peu comme Kyrgios je ne lui donne pas une grande chance parce premièrement ça peu être autant du ON que du OFF avec lui et vu le prochaine adversaire qui ce tappe ( Zverev qui est en train de retrouver la confiance avec une bonne monté en puissance a RG et un service dévastateur quand il passe) il ne passera pas le second Tour.
Je dois dire que ton analyse est tellement bien formulé et je pense que tu as du prendre beaucoup de temps pour la faire donc c'est pour ça que je te demandé si c'étais sérieux ou de l'humour, je sais qu'il y'a une majorité d'humour dans ton analyse mais pour ce qui est de Justin et Monfils je voulais savoir si tu le pensais vraiment ou que c'étais ironique?
Pour ma part je vois Tsonga gagner le tournoi avec pour commencer une petite leçon qu'il va mettre à Raonic aujourd'hui :)
Pour info Tsonga a un ratio de 72% de victoire pour 67 matchs joués sur cette surface en sachant qu'il fait partie de la génération de Federer et Djoko c'est un ratio vraiment excellent et c'est d'ailleurs sa meilleur surface.
Raonic a un ratio de 69% sur cette surface avec 61 matchs joués
Mais il y'a aussi Zverev qui est tous sauf un manchot sur cette surface, il à quand même un ratio de 63% de victoire pour seulement 33 matchs joués sur cette surface en sachant que c'est un jeune joueur donc il va avoir le temps d'améliorer ce ratio donc pour moi avec Tsonga ce sont les deux meilleurs joueurs de ce tournoi.
Dustin Brown est à 52% pour 52 matchs joués donc comme je disais c'est du ON OFF
Et il ne faut bien-sûr pas oublier Kachanov qui à un ratio de 71% mais pour seulement 14 matchs joués mais en même temps il n'est pas bien vieux.
Donc je vois Tsonga battre Zverev en demie en 2 sets pour gagner en 3sets bien accrochés contre Kachanov en Final qui aura battu Struff en demi en 2sets qui continu son début de saison exceptionnel.
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2019
19:16:14
22°C
2024
Alors que certains observateurs émérites peinent à voir clair dans l'opacité de ce premier rendez-vous sur gazon de la saison, le grand Scottie P vient porter haut le flambeau de la connaissance et éclairer les spécialistes dans leur quête de la vérité.
En effet deux vaillants guerriers sont déjà venu fouler la surface sacrée, et se posent comme les deux grands favoris pour la victoire finale. J'ai nommé les arbitres du bons goût Gaël Monfils et Dustin Brown. Ils ne se sont affrontés qu'une seule fois, pour une majestueuse flopée d'étincelles. Et les revoici qui, entrant au galop dans la ville de Stuttgart, semblent décider à se disputer la couronne.
Le Français, bien que n'ayant jamais caché son dégoût pour la verdure, possède un excellent service qui lui permettra d'aller loin et un coup droit dévastateur qui fait mal sur toutes les surfaces. Le fait qu'il donne dans son jeu de plus en plus de place à la volée est également un bon présage pour ce début de saison sur herbe.
L'Allemand, possédant naturellement plus de goût pour les végétaux, va surprendre tout le monde avec ses frappes à plat, son légendaire toucher et ses volées plongeantes à faire frémir Boris Becker.
Et, comble de bonheur, les deux joueurs s'évitent jusqu'en finale. Miracle du tableau.
Hélas, l'histoire était trop belle pour être vraie. Un homme auquel on refuse le titre d'esthète du circuit au profit de ces deux génies, est prêt à frapper un grand coup. Et sa perfidie est à toute épreuve.
Et oui, mesdames et messieurs, le conspirateur Kyrgios est sur place avec la volonté de donner une leçon à Monfils et à Brown. Son but : écarter l'un et l'autre de la finale et se retrouver sacré. Que ses partisans se rassurent, il sera bien au rendez-vous, plus motivé que jamais il ne l'a été. Placé dans la partie de tableau de Gaël, il attend déjà avec impatience le Français en quarts.
Ne pouvant rien pour arrêter Dustin par ses propres moyens, il soudoiera l'obscur chasseur de têtes Ernests Gulbis pour parvenir à ses fins. Les pourparlers seront sévères mais le Letton se laissera convaincre moyennant un salaire assez conséquent et la possibilité de profiter du fameux joker :"le téléphone à Lahyani" pendant ses matchs. Mais l'âme de Gulbis est sombre, et est-il capable de mettre son ego de côté au moment de laisser le succès à son compère Nick ? Rien n'est moins sur....
C'est donc une guerre froide des plus spectaculaires à laquelle on assistera à Stuttgart. Qui l'emportera : le camp du bien et ses remarquables serviteurs que sont Monfils et Brown ? Ou bien le côté obscur du vil Kyrgios et du mercenaire Gulbis ?
Une épopée sous forme de duel éxplosif entre la lumière et l'obscurité. Et pour dénouement, 4 scénarios possibles.
1) La fin "happy-end" avec la victoire indiscutable du camp du bien : Gaël et Dustin déjouent les plans de leurs adversaires, ils abandonnent simultanément à 7/6 6/7 6/6 en finale et soulèvent tous deux la coupe, un magnifique sourire aux lèvres, pendant que Nick ronge son frein en tribunes.
2) La fin "dark side" : Kyrgios balade Monfils aux quatre coins du cours pendant la totalité du match et termine sur un ace à la cuillère. Dans le même temps Gulbis dispose de Brown en se montrant plus solide. La finale entre l'Australien et le Letton ne se joue même pas, ce dernier ayant déclaré forfait pour honorer ses engagements.
3) Un combat épique en guise de finale : Kyrgios passe Monfils mais Brown, insubmersible, se débarrasse de Gulbis en 3 manches. La finale se joue dans une ambiance de dingue et le vainqueur, quel qu'il soit, prend le titre d'artiste du circuit. Il va s'en dire que la victoire de Kyrgios serait une grande satisfaction pour le côté obscur de la balle jaune.
4) La trahison de Gulbis : Au moment de son entrée sur le court pour la finale, Kyrgios se fait bousculer par le bel Ernests : "Tu croyais vraiment pouvoir m'utiliser comme un pion ? Le moment est venu pour toi de vaincre ou de mourir Nick !" (à lire avec une voix profonde et un accent rocailleux). Gulbis survole la finale en 2 manches et Nick jure mais un peu tard qu'on ne l'y prendra plus.
Le conseil que je donne aux organisateurs : Annuler le tournoi et organiser un double au meilleur des neuf manches entre les deux paires. Cela aurait le mérite d'éviter les matchs inutiles et gagnés d'avance (Brown-Zverev, Kyrgios-Khachanov,....)
De plus, le format "5 sets gagnants" n'ayant jamais été testé, le tournoi pourrait profiter d'un immense engouement.
En tout cas c'est plus ce que c'était les ATP 250... Jouer un tournoi avec toute cette tension sous-jacente...Je plains les joueurs ! Bonne chance à eux, qu'ils profitent.
Comme le dit le proverbe : "quand James Ward n'est pas là, ses vassaux dansent"
Pour eux qui est de Gulbis et Kyrgios bon je t'avoue que c'est facile de sire ça alors qu'ils sont déjà éliminé mais jamais une seule seconde je les auraient vu rien qu'en demi et pour Monfils comme tu l'a bien dis il à toujours clamé détéster l'herbe et ce n'est pas après sa débacle de RG que ça va changer et au vu de son premier Tour il n'ira pas loin.
Pour ton 4ème larrons avec lui c'est un peu comme Kyrgios je ne lui donne pas une grande chance parce premièrement ça peu être autant du ON que du OFF avec lui et vu le prochaine adversaire qui ce tappe ( Zverev qui est en train de retrouver la confiance avec une bonne monté en puissance a RG et un service dévastateur quand il passe) il ne passera pas le second Tour.
Je dois dire que ton analyse est tellement bien formulé et je pense que tu as du prendre beaucoup de temps pour la faire donc c'est pour ça que je te demandé si c'étais sérieux ou de l'humour, je sais qu'il y'a une majorité d'humour dans ton analyse mais pour ce qui est de Justin et Monfils je voulais savoir si tu le pensais vraiment ou que c'étais ironique?
Pour ma part je vois Tsonga gagner le tournoi avec pour commencer une petite leçon qu'il va mettre à Raonic aujourd'hui :)
Pour info Tsonga a un ratio de 72% de victoire pour 67 matchs joués sur cette surface en sachant qu'il fait partie de la génération de Federer et Djoko c'est un ratio vraiment excellent et c'est d'ailleurs sa meilleur surface.
Raonic a un ratio de 69% sur cette surface avec 61 matchs joués
Mais il y'a aussi Zverev qui est tous sauf un manchot sur cette surface, il à quand même un ratio de 63% de victoire pour seulement 33 matchs joués sur cette surface en sachant que c'est un jeune joueur donc il va avoir le temps d'améliorer ce ratio donc pour moi avec Tsonga ce sont les deux meilleurs joueurs de ce tournoi.
Dustin Brown est à 52% pour 52 matchs joués donc comme je disais c'est du ON OFF
Et il ne faut bien-sûr pas oublier Kachanov qui à un ratio de 71% mais pour seulement 14 matchs joués mais en même temps il n'est pas bien vieux.
Donc je vois Tsonga battre Zverev en demie en 2 sets pour gagner en 3sets bien accrochés contre Kachanov en Final qui aura battu Struff en demi en 2sets qui continu son début de saison exceptionnel.