Pourquoi Vienne ? Choix étrange lorsque Stokholm se présente la même semaine. Mais l' Autriche ne doit pourtant pas être oublié sous prétexte d'un duel entre Tsonga et Berdych en terre suédoise.
Favori, ultra-favori même, l'Argentin Juan Martin Del Potro, 8e mondial de son état, se présente en roc quasi-infranchissable pour ses adversaires. Et pourtant , doit-on en avoir si peur ? Si le géant n'a effectivement perdu que contre Djokovic depuis Toronto (quoiqu'à deux reprises), il n'a pas non plus créé d'exploit, mis à part peut-être ce huitième de fnale à Flushing Meadows contre Roddick, pour lequel employer un terme aussi fort paraît effectivement un peu excessif. A part cela, donc, des victoires parfois laborieuses contre des joueurs pas forcément au sommet de leur art (j'ai nommé les Troicki, Mayer ou Harrison).
Ce qui ouvre donc la voie à son principal rival ici présent, Janko Tipsarevic. Ou plutôt ce qui lui ouvrirait la voie si celui-ci n'était pas aussi peu convaincant en ce moment. Après un US Open somme toute bien mené, avec une fin en apothéose face à Ferrer en quarts, ses résultats laissent clairement à désirer. Mis à part une victoire sur un Simon nettement diminué, on peut tout de même noter, et pas plus tard que la semaine dernière, une cinglante défaite (6/2, 6/1), infligée par l'Allemand Haas. Lequel se trouvera précisément sur sa route à Vienne...
Au rang des joueurs capables de venir foutre la m****, on retrouve donc en première ligne le Teuton sus-mentionné, qui semble connaître une quatrième jeunesse cette saison, le régional de l'étape Jurgen Melzer, toujours motivé à la zonzon (vainqueur 2009 & 2010), l'espoir tricolore Paire, plus Malisse, plus Fognini, plus Gulbis, et eventuellement Baumgarter, qui semble être partout depuis son saut de l'ange.
Bon tournoi, moi faut que j'y aille, me prendre une chasse par mon boss sous prétexte que je bosse pas. Et puis quoi encore...
Favori, ultra-favori même, l'Argentin Juan Martin Del Potro, 8e mondial de son état, se présente en roc quasi-infranchissable pour ses adversaires. Et pourtant , doit-on en avoir si peur ? Si le géant n'a effectivement perdu que contre Djokovic depuis Toronto (quoiqu'à deux reprises), il n'a pas non plus créé d'exploit, mis à part peut-être ce huitième de fnale à Flushing Meadows contre Roddick, pour lequel employer un terme aussi fort paraît effectivement un peu excessif. A part cela, donc, des victoires parfois laborieuses contre des joueurs pas forcément au sommet de leur art (j'ai nommé les Troicki, Mayer ou Harrison).
Ce qui ouvre donc la voie à son principal rival ici présent, Janko Tipsarevic. Ou plutôt ce qui lui ouvrirait la voie si celui-ci n'était pas aussi peu convaincant en ce moment. Après un US Open somme toute bien mené, avec une fin en apothéose face à Ferrer en quarts, ses résultats laissent clairement à désirer. Mis à part une victoire sur un Simon nettement diminué, on peut tout de même noter, et pas plus tard que la semaine dernière, une cinglante défaite (6/2, 6/1), infligée par l'Allemand Haas. Lequel se trouvera précisément sur sa route à Vienne...
Au rang des joueurs capables de venir foutre la m****, on retrouve donc en première ligne le Teuton sus-mentionné, qui semble connaître une quatrième jeunesse cette saison, le régional de l'étape Jurgen Melzer, toujours motivé à la zonzon (vainqueur 2009 & 2010), l'espoir tricolore Paire, plus Malisse, plus Fognini, plus Gulbis, et eventuellement Baumgarter, qui semble être partout depuis son saut de l'ange.
Bon tournoi, moi faut que j'y aille, me prendre une chasse par mon boss sous prétexte que je bosse pas. Et puis quoi encore...