Sans un bruit, Camila Giorgi prend sa retraite
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas une façon ordinaire d’arrêter une carrière. Camila Giorgi, ex 26e mondiale, vient de prendre sa retraite. Sans faire d’annonce officielle puisque ...
Dans la cosmologie tennistique WTAesque, de nombreux chercheurs et théoriciens ont émis l’hypothèse que ce phénomène serait possiblement observable dans ce cycle générationnel, mais cela demeurait cependant une probabilité trés confuse et incertaine… Aujourd’hui, ce qui n’était qu’intuition, supposition, supputation devient soudain réalité. Nous sommes aux portes de l’évènement car toutes les conditions sont réunis pour que le phénoméne puisse se produire.
Le simple fait que les conditions d’être de cette possibilité se soit réaliser en pratique est DEJA en soit déjà un évènement GRANDIOSE et PRODIGIEUX. C’est dire combien le tournoi de TORONTO wta 2015 (Rogers CUP) restera un moment historique pour tous les passionnés de la petite balle jaune.
DEUX joueuses qui peuvent empêcher la constante furaxienne de se réaliser
Rappelons que le phénomène(dénommé constante furaxienne par les spécialiste) répond au postulat suivant : TOUTES les joueuses X en quart de finale d’un tournoi Y devront avoir PREALABLEMENT disputés (au minimum) une finale W, RG, AO ou US de grand chelem. Hors, il apparait que la conjoncture du tirage du grand tableau (et malgré le forfait de dernière minute de Maria Sharapova seule joueuse du top20 qui sera absente de ce tournoi), permet d’envisager les quart de finales ci-après :
-Serena WILLIAMS tds1 (21 titres en GC) contre Lucie SAFAROVA tds7 (finaliste RG 2015)
-Caroline WOZNIACKI tds4 (Finaliste US open 2009 et 2015) contre Ana IVANOVIC tds5 (gagnante RG 2008)
-Garbine MUGURUZA tds8 (finaliste Wimbledon 2015) contre Petra KVITOVA tds3 (double gagnante Wimbledon 2011 et 2014)
-Agneszka RADWANSKA tds6 (finaliste Wimbledon 2012) contre Simona HALEP tds2 (finaliste RG 2014).
Non seulement ces matchs correspondent EXACTEMENT aux paramétres mentionnés, mais la probabilité est bien supérieure à celui des différents calculs de probabilité aboutissant à l’exemple proposé car les données peuvent subir plusieurs modifications très précises sans pour autant atérer le postulats de depart.
Voici les différentes variantes envisageable qui n’empêchera pas la constante furaxienne de se produire dans le tournoi (puisque les joueuses mentionnées ont-elles aussi disputés au moins une finale de grand chelem:
Samantha STOSUR (gagnante de l’US Open 2011) peut très bien occuper la position de SAFAROVA.
Eugénie BOUCHARD (finaliste de Wimbledon 2014) ou Sabine LISICKI (finaliste Wimbledon 2013) peuvent toute deux se substituer à Caroline WOZNIACKI. Mais c’est surtout la possibilité d’une troisiéme, celle de Venus WILLIAMS (quintuple gagnante de Wimbledon) qui semble assez probable pour une permutation avec la danoise.
AZARENKA (double gagnante de l’Open d’Australie) peut fortement être envisager en place de KVITOVA ainsi que (beaucoups moins fortement cependant) l’italienne ERRANI (Finaliste de RG 2012 ) bien que la probabilité soit assez faible.
CIBULKOVA (finaliste de l’Open d’Australie 2014) pourrait éventuellement remplacer Agniezka RADWANSKA (mais les chances ne semblent pas énorme pour la slovaque alors que la polonaise apparait de retour à son meilleur)
Tout comme JANKOVIC (Finaliste de l’US Open 2008) qui pourrait occuper la position de Simona HALEP si celle-ci fait défaut.
Mais plusieurs joueuses peuvent EMPECHER que le phénoméne se produise.
Les observateur, en ont isolés une dizaine, dont DEUX avec un trés gros potentiel. Les voici:
1/Flavia PENNETTA et Andrea PETKOVIC seront très dangereuses en début de tournoi pour Serena WILLIAMS .
2/Daria GAVRILOVA n’est pas à sous-estimer. Même si STOSUR ou SAFAROVA logiquement.
3/ Belinda BENCIC ou LEPCHENKO peuvent surprendre et se hisser en quart, mais ce sera tout de même un gros exploit contre une Wozniacki ou une Venus (un peu moins contre Bouchard)
4/MAKAROVA pourrait être un danger pour Ivanovic. Mais son récent abandon à Washington laisse planer un doute sur ses chances.
5/ Timea BACSINZSKY sera un adversaire difficile pour MUGURUZA. La suissesse est probablement, l’une des deux joueuses qui a le plus de chance d’empêcher la convergence des finalistes en quart.
5/SUAREZ-NAVARRO ou Sloane STEPHENS peuvent très bien jouer un mauvais tour à Agneszka RADWANSKA. Mais celle-ci semble en grande forme.
6/ Angélique KERBER est LA joueuse du moment. Il faudra une grande HALEP pour la battre.
Quoi qu’il en soit, que le phénomène de totale convergence de finalistes du grand chelem en quart de finale se produise ou pas, ce sera un très grand tournoi historique dont l’énorme répercutions et la gigantesque résonnance se transmettra bien au-delà des générations.;)