Wikipédia m'a appris qu'il était l'un des premiers à promovoir le Senior Tour avec Bobby Riggs.
Il remporta quatre fois l'US en double avec Bill Talbert (1942, 1945, 1946 et 1948), plus Wimbledon 1957 avec Budge Patty (il avait à l'époque 44 ans et était l'homme le plus âgé à remporter le titre en double).
A presque 40ans, il atteint la finale de l'US 1952 qu'il perdit face à l'homme en forme du moment, l'australien Frank Sedgmann.
A noter que cette année là, Sedgmann dominait le tennis mondial. Il remporte l'Us et Wimbledon, fait finale à Roland Garos et en Australie. En double, déjà auteur du grand chelem en 1951 (oO), il manque de le re-réaliser en remportant les trois premiers grand chelem et en passant à deux jeux de la victoire à l'US. En double mixte, il remporte Wimbledon, Roland et l'US avec Doris Hart...
Soit pas moins de huit grand chelem sur les douze possible en cette année 1952 (plus trois finales).
Et c'est cette machine totale que notre Mulloy a affronté en finale de l'US 1952. Le tennis qu'il a connu n'a plus grand chose en commun avec celui d'aujourd'hui. Les témoins privilégiés et passionnés comme l'ont été Mulloy sont rares. Avec lui, c'est un précieux regard sur l'histoire du tennis qui se perd.
Frank Sedgmann lui, a 89 ans et reste aujourd'hui avec son partenaire McGregor le seul homme à avoir réussi le grand chelem calendaire en double. Tiens, je vais voir si je trouve des reportages sur lui, ça a l'air passionnant.
Cet homme est mort il y a 8 jours, à l'âge de 102 ans. Vainqueur de 5 titres du Grand Chelem en double, finaliste de l'US Open en simple... Et surtout un immense passionné de tennis puisqu'il a continué à jouer sur le circuit Senior jusqu'en 2003, l'année de ses 90 ans.
Le tennis ne s’arrête jamais… ou presque. Derrière les tournois à la chaîne, les champions doivent apprendre à s’arrêter pour durer. De Federer à Alcaraz, enquête sur ces quelques semaines décisives où tout se joue : repos, relâchement, renaissance.
Des sœurs Williams à Alizé Cornet, des sponsors aux circuits ATP et WTA, le débat sur l’égalité salariale dans le tennis n’a jamais été aussi vif. Entre progrès indéniables et inégalités persistantes, le sport roi de la raquette se retrouve face à ses contradictions.
Des programmes pour tous les âges, un chemin vers le monde professionnel dans de grands complexes de plus en plus modernisés. Telle est la devise de la Rafa Nadal Academy, qui déniche les champions de demain et les forme pour le très haut niveau.
Repose en paix Mulloy :)
Il remporta quatre fois l'US en double avec Bill Talbert (1942, 1945, 1946 et 1948), plus Wimbledon 1957 avec Budge Patty (il avait à l'époque 44 ans et était l'homme le plus âgé à remporter le titre en double).
A presque 40ans, il atteint la finale de l'US 1952 qu'il perdit face à l'homme en forme du moment, l'australien Frank Sedgmann.
A noter que cette année là, Sedgmann dominait le tennis mondial. Il remporte l'Us et Wimbledon, fait finale à Roland Garos et en Australie. En double, déjà auteur du grand chelem en 1951 (oO), il manque de le re-réaliser en remportant les trois premiers grand chelem et en passant à deux jeux de la victoire à l'US. En double mixte, il remporte Wimbledon, Roland et l'US avec Doris Hart...
Soit pas moins de huit grand chelem sur les douze possible en cette année 1952 (plus trois finales).
Et c'est cette machine totale que notre Mulloy a affronté en finale de l'US 1952. Le tennis qu'il a connu n'a plus grand chose en commun avec celui d'aujourd'hui. Les témoins privilégiés et passionnés comme l'ont été Mulloy sont rares. Avec lui, c'est un précieux regard sur l'histoire du tennis qui se perd.
Frank Sedgmann lui, a 89 ans et reste aujourd'hui avec son partenaire McGregor le seul homme à avoir réussi le grand chelem calendaire en double. Tiens, je vais voir si je trouve des reportages sur lui, ça a l'air passionnant.