Bis repetita, une finale qui ne restera dans les annales que par le record, rares échanges, bataille de services, un match à sens unique, une exécution en règle. SINNER complétement inhibé n'a guère fait mieux que son collègue de la veille, un score sans appel. Bravo à DJOKO qui domine cette génération bien trop tendre pour pouvoir l'inquiéter, à défaut de nous offrir du spectacle, il défie toutes les statistiques par un jeu efficace et tranchant où la qualité des coups n'a d'égale que l'absence de surprise.