Le sponsor-titre de l’époque (BNP Paribas) exigeait contractuellement la présence de top joueurs, quelque chose d’impossible à garantir avec des indépendants. Nous avons vu en Kosmos une bouée de secours pour éviter le naufrage financier. L’ITF est demeurée propriétaire de l’épreuve, la gestion a été déléguée avec des garde-fous.
Le deal n’a pas abouti pour des raisons couvertes par le secret des affaires, l’ITF a repris la main et l’épreuve a retrouvé de la santé, ce que montre la participation des meilleurs. Le produit n’est pas encore fini : il faut continuer à le travailler.
(Les détracteurs) n’ont rien compris. La Coupe Davis n’a pas une âme, elle a une identité : un trophée qui récompense la meilleure nation du monde. Elle a évolué à plusieurs reprises, notamment vers le professionnalisme et la création du Groupe mondial en 1991.
Quand on est élu à l’ITF, on agit pour l’intérêt mondial, pas pour sa nation d’origine. En 2018, l’Assemblée générale de l’ITF à Orlando a adopté la réforme à 74 % : rien n’a été vendu. En France, l’attachement à certaines ambiances est fort, mais on ne pouvait pas être égoïstes. »
/RafaelWilliams 1j
/Marieca 2j
Jennifer 10h
XMAN4 6j
/LaChaineTT 7h
/Futur 3j
/FanDuBeauJeu 22h