Je peux sembler impassible, mais crois-moi, c’est souvent une tempête intérieure, car le plus grand combat se déroule toujours en soi. On a tous des doutes et des peurs — je les ressens à chaque match.
Je n’aime pas cette idée répandue dans le sport qui consiste à dire qu’il faut toujours penser positif, qu’il n’y a pas de place pour le doute ou l’échec. C’est impossible : nous sommes humains.
La vraie différence entre les plus grands champions et ceux qui peinent à atteindre le haut niveau, c’est la capacité à ne pas rester prisonnier de ces émotions. Pour moi, cette phase dure relativement peu de temps. Je les reconnais, je peux m’énerver, crier, mais quoi qu’il arrive, je rebondis rapidement. »
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