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chevron_left Novak Djokovic
6h

Sur FB hier :

Sebastiano Alicata

Hier, à 13:45

· ·

Shanghai a toujours une humidité époustouflante, un ciel collant et un brave garçon de 26 ans qui joue sans peur.

Le belge Zizou Bergs sert à 250 km/h, frappe tout droit à 150, descend au filet, ose.

Il a devant Novak Djokovic, le plus grand, et il le regarde dans les yeux avec respect et défi ensemble.

Novak prend le premier set, 6-3, avec seulement deux erreurs non forcées : un tennis précis, contrôlé, presque scientifique.

Mais dans le deuxième set, le match devient une bataille.

Bergs grappin, poussez, traînez, fait 3-2.

Djokovic se plie souvent en deux, l'humidité est étouffante, mais il ne perd jamais son calme.

C'est dans ces moments-là que vous pouvez voir la différence entre le talent et la grandeur.

Sul 5-5, Novak alza l’intensità.

Trouvez les lignes, allez-y, lisez tout une seconde avant. Et là le match bouge, imperceptiblement, mais définitivement. Après de beaux échanges, finalement Novak ferme 7-5, avec la clarté de qui peut attendre le bon moment pour frapper.

Et puis quelque chose de bizarre arrive, vraiment.

Sur le net, le jeune Bergs l'embrasse chaleureusement et lui dit : « Je dois arrêter de t'idolâtre. ”

Une phrase simple, mais pleine de tout : respect, admiration, conscience.

Deux générations qui se rencontrent un instant, l'une qui dit merci et l'autre qui reconnaît.

Djokovic a gagné, mais la beauté du moment aujourd'hui n'est pas dans le score, c'est dans ce câlin sincère, dans cette phrase qui en dit plus que toute conférence de presse.

Sous le ciel humide de Shanghai, le tennis nous a rappelé à tous que les vrais champions ne créent pas de distance, ils inspirent à se réunir.

Maintenant en demi-finale

Bravo Nole.

(traduit de l'italien : A Shanghai c’è ancora l’umidità che toglie il respiro, il cielo appiccicoso, e un ragazzo sfrontato e coraggioso di 26 anni che gioca senza paura.

Il belga Zizou Bergs serve a 250 km/h, colpisce dritti a 150, scende a rete, osa.

Ha davanti Novak Djokovic, il più grande, e lo guarda negli occhi con rispetto e sfida insieme.

Il primo set se lo prende Novak, 6-3, con appena due errori non forzati: un tennis preciso, controllato, quasi scientifico.

Ma nel secondo set il match diventa una battaglia.

Bergs lotta, spinge, trascina, va avanti 3-2.

Djokovic si piega spesso in due, l’umidità è soffocante, ma non perde mai la calma.

È in quei momenti che si vede la differenza tra il talento e la grandezza.

Sul 5-5, Novak alza l’intensità.

Trova le righe, anticipa, legge tutto un secondo prima. E lì il match si sposta, impercettibilmente, ma definitivamente. Dopo scambi bellissimi, alla fine Novak chiude 7-5, con la lucidità di chi sa aspettare il momento giusto per colpire.

E poi accade qualcosa di raro, di vero.

A rete, il giovane Bergs lo abbraccia con calore e gli dice: “Devo smetterla di idolatrarti.”

Una frase semplice, ma piena di tutto: rispetto, ammirazione, consapevolezza.

Due generazioni che si incontrano per un istante, una che ringrazia e l’altra che riconosce.

Djokovic ha vinto, ma la bellezza del momento oggi non sta nel punteggio, sta in quell’abbraccio sincero, in quella frase che dice più di qualsiasi conferenza stampa.

Sotto il cielo umido di Shanghai, il tennis ha ricordato a tutti noi che i campioni veri non creano distanza, ispirano avvicinamento.

Adesso verso la semifinale.

Avanti così Nole.)

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1 1 commentaires
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Règles à respecter
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MILI
Bellissimo ! ❤️
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