« Je ne pouvais prendre aucun engagement », Becker révèle avoir été proche d’entraîner Sinner en 2022
Boris Becker a révélé dans une interview au Corriere Della Sera avoir été proche de devenir l’entraîneur de Jannik Sinner il y a trois ans. Mais il n’a aucun regret, en raison du travail effectué par le duo Darren Cahill-Simone Vagnozzi.
En 2022, Jannik Sinner avait mis fin à sa collaboration avec Riccardo Piatti. À la recherche d’un nouvel entraîneur, l’Italien a finalement engagé Darren Cahill et Simone Vagnozzi.
Grâce à leur travail, Sinner a explosé au plus haut niveau, remportant quatre titres en Grand Chelem et devenant numéro 1 mondial après Roland-Garros l’an passé. D’ailleurs, en cas de succès ce dimanche contre Félix Auger-Aliassime en finale du Masters 1000 de Paris, il reprendra le trône du classement ATP.
Légende du tennis, Becker a assuré dans une interview ces dernières heures avoir été proche de succéder à Piatti en tant que coach du natif de San Candido en 2022, mais l’Allemand attendait de connaître le verdict de son procès, lui qui a fini par passer sept mois en prison en Angleterre cette année-là pour fraude.
« Je croyais que c'était un secret, je n'en ai jamais parlé. J'attendais le verdict de mon procès à Londres. J'ai alors dit à Jannik (Sinner) que je ne savais pas comment cela allait se terminer, que je ne pouvais prendre aucun engagement, mais que je ne voulais pas le laisser tomber. Je lui ai donné quelques noms, dont celui de Darren Cahill.
Pour moi, c'était le meilleur. Quant à moi, j'étais convaincu que Jannik pouvait devenir le plus fort. À l'époque, il devait améliorer son service et son jeu de jambes, mais il était unique, déjà très fort dans sa tête.
Aujourd'hui, je ne veux plus passer autant de temps sur le circuit. Peut-être que le rôle d'entraîneur commence à me peser. Quatre Grands Chelems à 24 ans : je ne pense pas que j'aurais pu faire mieux que Vagnozzi et Cahill.
Quand il a été choisi, il n'était pas encore très connu, mais peu de gens comprennent le jeu comme Simone (Vagnozzi). Le succès de l'équipe de Sinner parle pour elle. Et c'est incroyable quand on pense que Jannik ne joue sérieusement que depuis l'âge de 13-14 ans », a assuré Becker dans une interview accordée au Corriere Della Sera.
Merde alors !!!
Il l'est devenu quand même !!!
Zut ! Je n'ai rien compris...
😁😁😁😁😁