« La sanction était clémente », déclare l’ancien directeur du département des contrôles de l'Agence française de lutte contre le dopage sur Sinner
Jean-Pierre Verdy, fondateur et ancien directeur du département des contrôles de l'Agence française de lutte contre le dopage, est revenu sur la sanction de trois mois infligée à Jannik Sinner en 2025.
Dans des propos relayés par AS, il déclare : « Ce qui s'est passé est inhabituel, mais plus l'athlète est puissant, plus il a de chances de s'en tirer. Les excuses sont toujours les mêmes : cette fois-ci, disent-ils, c'est la faute du masseur. Mais cette explication ne tient que pour les plus grands.
La sanction était clémente, compte tenu de la substance et de la peine qu'un athlète moyen aurait reçue s'il avait été pris avec la même substance... N'importe qui d'autre aurait reçu deux ou trois ans. »
L’impact de la guerre sur le tennis en Ukraine : aides financières, fondations, instances et casse-têtes en tous genres
La guerre des tenues : comment les contrats vestimentaires dominent le business du tennis
Le tennis, nouveau terrain de jeu de l’Arabie saoudite
Galère des blessures et manque d’argent : la double peine des joueurs de tennis loin des stars du Top 100
Pour autant, le commentaire de Verdy paraît excessif et partial . En jugeant que la sanction infligée à Sinner est "clémente", il ignore volontairement la complexité des règles antidopage, la nature de la substance, la quantité, l’intention du sportif ou encore le risque de contamination involontaire 🤔 Plutôt que d’apporter un regard objectif et constructif, son propos alimente surtout la polémique !
Encore un qui a la science infuse
" N'importe qui d'autre aurait reçu deux ou trois ans" ...il sort ça de son chapeau
n'importe quoi
D'autres joueurs ont été totalement blanchis