Je n'ai jamais été d'accord avec cette vision d'aimer ou de ne pas aimer par rapport à quelqu'un d'autre. Oui j'aimais bien Federer et pas trop Nadal mais l'un n'avait aucun lien avec l'autre. J'aimais le flegme et le jeu de Federer et peu les mimiques et le jeu bourrin de Nadal, puis Nadal s'est de plus en plus exprimé et est apparu bien plus sympathique, comme je ne supportais pas Murray et ses crises de colères excessives puis j'ai aimé ses prises de position modernes et ouvertes. Au contraire, j'ai bien aimé Djokovic au début avec son jeu, son humour et ses imitations, c'était frais et agréable, puis il s'est exprimé et surtout il a drainé des supporters excessifs qui ont nui à son image. Leur concurrence n'a pas joué tant que ça. D'ailleurs, aujourd'hui, beaucoup de gens aiment Sinner et Alcaraz, même si on voit toujours les supporters de Djokovic qui s'attaquent à Alcaraz, uniquement parce qu'il a dit qu'il voulait battre des records.
Je pense que seul le caractère et les attitudes de chacun ont attiré admirateurs et détracteurs.
à la différence près qu'Alcaraz n'est qu'une menace hypothétique, car rien ne dit qu'il parviendra à avoir la même longévité que le Big3.