La 5ème République est devenue un foutoir.

Qui peut la respecter?

De Gaulle était traité de Dictateur permanent (par Mitterrand) . C'est lui qui l'a créé et lui qui l'a le mieux respectée, du moins, selon mon avis.

Mitterrand et Chirac ont essayé de profiter au maximum des largesses de cette Constitution mais jusqu'à un certain point. Ils ont l'un comme l'autre permis la Cohabitation créant ainsi un nouvel équilibre.

Aujourd'hui l'agent Macron, Banquier placé par Attali (entre autre) pour les services de l'Oligarchie mondialiste use de toutes les ficelles que cette constitution présidentialiste permet. Il gouverne avec 10%, peut être, de soutien électoral et fractionne toutes les oppositions pour aller au bout de son mandat. Il a mis en place des ministres tordus, mouillés la plupart dans des affaires qui n'auraient pas permis leur nomination 30 ans auparavant. Si t'es pas tordu, t'es pas nommé.

En clair, il ne veut ni du RN ni de LFI au pouvoir, les 2 partis appelés "extrêmes" par les médias mainstream (sauf Cnews) qui soutiennent fermement le projet mondialiste comme on l'a vu avec les épisodes sur le vaccin, la guerre contre le terrorisme, l'expansion de l'Otan et de l'UE et l'enterrement de toute voix dissidente.

Ici, on perçoit déjà la rupture entre une majorité de la population (du moins électorale) et l'élite politico-médiatique. Je dis électorale car il y a bien 3 France :

-La France des immigrés majoritairement africains dépolitisés qui se contentent de vivoter dans un espace économique et culturel favorable pour eux

-Les "gauchistes" qui vivent avec le modèle théorique de la République fraternelle qu'on leur a vendu, évidemment loin de l'immigration et avec les droits de l'Homme plein les yeux

-Les droitards lepénisé plus ou moins selon la situation, fatigués de la voyoucratie en haut et en bas

Bien sûr ces divisions marquées sont propices à toutes les manipulations de la part du camp oligarchique qui détient l'espace médiatique.

Alors pourquoi Macron ne veut il ni du RN ni de LFI?

Réponse courte : ces 2 partis entravent les projets.

La "nouvelle" judéophilie (suite au départ du père Lepen) ou plutôt la complaisance vis à vis du sionisme, permet au RN d'avoir une touche avec la Macronie. Mais le RN est trop euro-critique et souverainiste (barrière infranchissable pour les mondialistes) donc seul l'aboiement contre les étrangers et l'Islam peut être toléré par le Président et derrière lui l'Oligarchie. C'est pour cette raison que Retailleau a pu tenir une année dans ce Bordel antidémocratique.

LFI coche normalement pas mal de points d'exigences des mandataires du World Economique Forum. Ils sont anticatholiques, immigrationistes, pro LGBT, wokistes comme disent les nouvelles générations, et particulièrement européistes. Certains d'entre eux ne seraient sans doute pas contre la destruction pure et simple des frontières. Mais voilà, ils sont anticapitalistes donc anti Oligarchie et il ne faudrait pas risquer voire démanteler les réseaux des quelques familles qui se partagent certains marchés et par ailleurs ils sont particulièrement ouvert aux lobbys et réseaux musulmans ainsi (cela va ensemble) que radicalement antisionistes (au sens acceptable du terme, pas celui relayé par la propagande israélienne)

Combien de temps cela peut il durer?

Ca peut durer jusqu'aux prochaines élections je pense. Macron a démontré que derrière sa voix de velours, son jargon mielleux de bonimenteurs et son regard faussement niais cachant certainement un déséquilibré psychiatrique, il était en fait quelqu'un d'intransigeant, un jusqu'auboutiste de la mafia globaliste pouvant dire tout et son contraire du moment que l'agenda avance et qui peut gouverner avec 1% des voix tant que la constitution le lui permet et rien à faire de l'esprit de cette Constitution et de cette République. Les mots n'ont plus de sens de toute façon depuis quelques décennies. Il marche avec l'espace médiatique contrôlé par ceux là même qui le contrôlent lui.

Merci pour la lecture (désolé pour les fautes), évidemment cette analyse est parfaitement subjective.