Ni russophobe, ni russophile mais inquiète que certains soient si prompt à se mobiliser et à épouser les thèses qui sont servies à longueur de journée sans se poser de questions, favorisant ainsi le dessein des hommes de pouvoir, diviser pour régner. La propagande ne date pas d'hier et certains ont la mémoire courte et sélective. L'histoire nous apprend tous les jours les horreurs du passé qui a vu des hommes se faire massacrer pour des motifs très discutables, décrétés par des gouvernements. Gardons nous de juger du bien-fondé ou non d'une guerre car pendant ce temps des hommes meurent.