En 1973, Billie Jean King a fait bien plus que battre Bobby Riggs : elle a renversé un symbole. Cinq décennies plus tard, la « Bataille des Sexes » renaît entre Aryna Sabalenka et Nick Kyrgios, mais cette fois, le combat semble avoir perdu son âme.
En 1973, un ancien champion de 55 ans provoque le monde du tennis féminin avec des propos sexistes d’un autre âge. Quelques semaines plus tard, il humilie Margaret Court lors de la première Bataille des Sexes.
À 83 ans, la légende australienne Margaret Court s’est confiée sur son incroyable palmarès et sur la poursuite folle de Novak Djokovic pour un 25e titre du Grand Chelem.
Le terme de Fan Week est de plus en plus populaire dans le sport. Dans le but de dynamiser le tennis et le rendre attractif aux yeux de tous, cet événement devenu indispensable dans certains tournois majeurs connaît un succès grandissant.
Longtemps considérée comme une simple mise en bouche avant le grand spectacle, la semaine des qualifications s’impose désormais comme un événement à part entière. Entre émotions brutes, innovations spectaculaires et affluence record, l’Opening Week bouleverse les codes du tennis mondial.
En 1973, Billie Jean King a fait bien plus que battre Bobby Riggs : elle a renversé un symbole. Cinq décennies plus tard, la « Bataille des Sexes » renaît entre Aryna Sabalenka et Nick Kyrgios, mais cette fois, le combat semble avoir perdu son âme.
Les réseaux sociaux ont ouvert une ère inédite pour le tennis : celle où la notoriété se construit autant sur le court que sur Instagram. Mais jusqu’où cette quête de visibilité peut-elle aller sans faire vaciller l’équilibre des joueurs ?