C'est c*n pour Querrey parce c'est vraiment durant sa dernière mise en jeu du premier set qu'il a perdu pied. Aucun premier service (mais ça venait au fur et à mesure de ses dernières mises en jeu) et moins rentre-dedans, plus de fautes. Alors qu'avant, quand il menait les échanges, il cherchait les angles et embêtait vraiment Roddick.
Ah et pour Andy, il m'avait semblé qu'il avait un peu de mal avec son premier service vers 2-2 et 3-3 mais c'est revenu et c'est du parfait pour l'instant (sauf au moment où j'écris comme par hasard...). Quand il vise les angles et qu'il mène le jeu, c'est beaucoup plus facile pour lui et il ne le fait pas si souvent que ça. Enfin, sur le premier set.
craig tucker,je dirais que la "machine à aces"roddick a profité de son arme favorite sur tout le match,ce qui fait que ca l'a quand meme bien avantagé pour limiter des echanges longs face à querrey ;)
Le terme de Fan Week est de plus en plus populaire dans le sport. Dans le but de dynamiser le tennis et le rendre attractif aux yeux de tous, cet événement devenu indispensable dans certains tournois majeurs connaît un succès grandissant.
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En 1973, Billie Jean King a fait bien plus que battre Bobby Riggs : elle a renversé un symbole. Cinq décennies plus tard, la « Bataille des Sexes » renaît entre Aryna Sabalenka et Nick Kyrgios, mais cette fois, le combat semble avoir perdu son âme.
Les réseaux sociaux ont ouvert une ère inédite pour le tennis : celle où la notoriété se construit autant sur le court que sur Instagram. Mais jusqu’où cette quête de visibilité peut-elle aller sans faire vaciller l’équilibre des joueurs ?
Alexander Bublik a électrisé le circuit ATP en 2025. Quatre trophées, des victoires de prestige et une irrésistible montée au classement : Andy Roddick décrypte la métamorphose d’un talent aussi fantasque qu’inattendu.
À 22 ans, Holger Rune vit l’épreuve la plus difficile de sa jeune carrière. Mais sa rééducation express et son mental d’acier forcent l’admiration : Andy Roddick salue un combattant prêt à tout pour revenir au sommet.
Andy Roddick n’a pas mâché ses mots : selon lui, Tommy Paul possède un jeu de transition digne des plus grands. Mais pour briller à nouveau, il devra d’abord vaincre son plus redoutable adversaire… son propre corps.
Ah et pour Andy, il m'avait semblé qu'il avait un peu de mal avec son premier service vers 2-2 et 3-3 mais c'est revenu et c'est du parfait pour l'instant (sauf au moment où j'écris comme par hasard...). Quand il vise les angles et qu'il mène le jeu, c'est beaucoup plus facile pour lui et il ne le fait pas si souvent que ça. Enfin, sur le premier set.
Il domine facilement querrey!