« Cela a été l’occasion de parler avec le cœur », De Minaur revient sur sa défaite contre Musetti aux ATP Finals
Alex De Minaur a réalisé une très bonne saison. L’Australien, vainqueur du tournoi ATP 500 de Washington et quart de finaliste à l’Open d’Australie ainsi qu’à l’US Open entre autres, avait gagné sa place pour les ATP Finals.
À Turin, le 7e mondial a atteint les demi-finales, s’inclinant contre Jannik Sinner. Dans une interview, le joueur de 26 ans est revenu sur sa défaite douloureuse contre Lorenzo Musetti en poules, alors qu’il menait 5 jeux à 3 dans la troisième manche.
« Certaines défaites sont beaucoup plus difficiles à accepter »
« En fin de compte, je ne pense pas que ce soit la pire chose qui soit d'être complètement honnête et ouvert. Souvent, en tant que joueurs, nous essayons de faire bonne figure, mais certaines défaites sont beaucoup plus difficiles à accepter. Je mentirais probablement si je disais que cette défaite ne m'a pas affecté, mais je suis satisfait du résultat (demi-finales) et de tout le reste.
Pour moi, cela a été l’occasion d'être complètement honnête avec moi-même et de parler avec le cœur en conférence de presse. En fin de compte, c'est ainsi que je peux tirer les leçons de ces moments et de ces expériences et essayer de ne pas refaire les mêmes erreurs. Dans l'ensemble, ça a été ma meilleure année jusqu'à présent.
Il y a eu de grands moments, mais aussi des déceptions dont je peux tirer des leçons. Deux joueurs, Jannik (Sinner) et Carlos (Alcaraz), ont remporté beaucoup de grands tournois et le défi pour nous tous est d'essayer de combler l'écart qu'ils ont creusé », a assuré De Minaur pour Tennis365.
ATP Finals
Dossiers - Arabie saoudite, blessures, guerre et business : les dessous fascinants du tennis révélés par TennisTemple
Le tennis racheté par l'Arabie saoudite ? Comment Riyad s'impose à coups de millions sur l'échiquier mondial
L’impact de la guerre sur le tennis en Ukraine : aides financières, fondations, instances et casse-têtes en tous genres
La guerre des tenues : comment les contrats vestimentaires dominent le business du tennis